J'utilise GNOME Terminal, principalement parce que c'est la valeur par défaut de ma distribution. Mais ce qui se passe à l'intérieur de mon terminal est loin d'être "par défaut". Avant d'aborder la façon dont je le personnalise, voici à quoi il ressemble :
Commencer par le bas
J'utilise tmux, une technologie de multiplexeur de terminaux, pour gérer mon expérience de terminal.
Au bas de l'image ci-dessus, vous pouvez voir ma barre verte tmux. Le [3]
en bas indique que ce terminal est le troisième :chaque terminal exécute sa propre session tmux. (J'en ai créé un nouveau pour agrandir la police, donc c'est plus facile à voir dans cette capture d'écran ; c'est la seule différence entre ce terminal et mes vrais.)
L'invite a également l'air drôle, n'est-ce pas ? Avec autant d'informations coincées dans l'invite, j'aime bien coller une nouvelle ligne afin que si je veux faire de la programmation shell impromptue ou écrire un pipeline en cinq étapes, je puisse le faire sans que les choses ne débordent. Le compromis est que de simples séquences de commandes (touchez ceci, copiez cela, déplacez ceci) défilent plus rapidement sur mon écran.
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La dernière chose sur la ligne avec le contenu est Aleph nul, la plus petite cardinalité infinie. J'aime quand il est évident où une ligne de contenu se termine, et quand j'ai réalisé qu'Aleph et l'indice 0 sont des caractères Unicode, je n'ai pas pu résister à la tentation de faire d'Aleph null une partie de mon invite. (Amateurs de maths, unissez-vous !)
Avant c'est mon nom d'utilisateur; c'est modérément utile car j'utilise les mêmes fichiers de points (stockés dans Git) sur plusieurs machines avec des noms d'utilisateur différents.
Avant mon nom d'utilisateur est le dernier composant du répertoire dans lequel je me trouve. Le chemin complet est souvent trop long et inutile, mais le répertoire courant est inestimable pour quelqu'un, comme moi, qui oublie constamment sur quoi il travaille. Avant c'est le nom de la machine. Toutes mes machines portent le nom d'émissions de télévision que j'aime. Mon ancien ordinateur portable est mcgyver
.
Le premier bit de l'invite est le bit que j'aime le plus :une lettre qui me permet de connaître le statut Git du répertoire. C'est G
si le répertoire est "(pas dans) Git," K
si le répertoire est "OK" et qu'il n'y a rien à faire, !
s'il y a des fichiers inconnus de Git qui doivent être ajoutés ou ignorés, C
si je dois m'engager, U
s'il n'y a pas d'amont, et P
si un amont existe, mais je n'ai pas poussé. Ce schéma n'est pas basé sur l'état actuel mais décrit la action suivante J'ai besoin de faire. (Pour revoir la terminologie Git, lisez cet article.)
Cette fonctionnalité de terminal est réalisée avec un utilitaire Python intéressant. Il exécute python -m howsit
(après avoir installé howsit dans un environnement virtuel dédié).
Vous pouvez voir le rendu dans l'image ci-dessus, mais pour être complet, voici ma PS1 :
[$(~/.virtualenvs/howsit/bin/python -m howsit)]\h:\W \u ℵ₀
$